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Afin d’établir la valeur de reprise d’un véhicule d’occasion dans le but d’une reprise auto, plusieurs méthodes de calcul existent. Elles s’appellent Argus, Autovista… et servent aujourd’hui aux professionnels de l’automobile mais aussi aux professions réglementées (comptables, huissiers, assureurs…) ainsi qu’à l’administration fiscale. La méthode est basée sur une équation prenant en compte la marque, le modèle, la date de mise en circulation du véhicule, le kilométrage, les équipements et les options. La valeur exprimée par ce calcul est ce qu’on appelle la côte. Ces systèmes permettent également d’estimer de façon plus scientifique les frais de remise en état afin de proposer l’offre de reprise la plus juste.
Générée par l’algorithme tenant compte du modèle, de la marque, de l’ancienneté, du kilométrage, des
équipements, des options ou encore des frais de remise en état,
la côte d’un véhicule récent décroît
chaque année. Dès la première année, un véhicule neuf est dévalorisé de 15 à 30% ! La deuxième année,
cette décote peut atteindre 50% ! Voilà pourquoi une voiture d’occasion récente est très souvent une
bonne affaire au regard d’un modèle neuf ! Il s’agit cependant de moyennes. En effet, une citadine se
dévalorise moins vite qu’une grande berline. À tort ou à raison, une voiture allemande a meilleure
réputation qu’une Italienne. Il sera plus facile de revendre une voiture de couleur noire que jaune.
Il y a même un phénomène de saisonnalité !
Selon les caractéristiques du modèle, cette côte pourra éventuellement remonter dans de nombreuses années
en entrant dans une catégorie de voitures dénommées « youngtimer », « anciennes », « de collection ».
Seuls exceptions, des véhicules très rares, fabriqués en petite quantité. Dans certains cas, la côte peut
être supérieure au prix du neuf au bout de seulement 6 mois !
Cependant, la côte d’un véhicule d’occasion peut être affinée, notamment au travers de l’historique des
ventes de véhicules similaires sur des périodes et des zones géographiques comparables. Majorée ou
bonifiée, c’est selon ! En effet, un véhicule mal entretenu ou accidenté bénéficiera d’une offre de
reprise inférieure de la part du professionnel de l’automobile. Ce dernier doit tenir compte des frais
de remise en état. À l’inverse, un véhicule en parfait état et bénéficiant d’équipements rares
(comme une boîte de vitesse automatique ou un toit ouvrant) pourra générer une meilleure offre de
reprise que sa côte.
Il importe dans ce cas de savoir faire jouer la concurrence entre différents professionnels afin de
vendre sa voiture au meilleur prix !
Si les marges de négociations ne sont pas toujours très larges, vous pourrez
vous appuyer sur les négociations à propos du véhicule que vous comptez acquérir dans le cadre de cette
reprise afin de profiter d’un meilleur taux, d’un niveau d’équipement supérieur ou des services
complémentaires gratuits.